Après
de nombreuses années de démentis officiels visant à
tourner au ridicule des soi-disant ‘théoriciens de la
conspiration’, la manipulation du marché de l’or par les
banques centrales devient aujourd’hui une idée de plus en plus
reconnue.
Nous
ne pouvons en effet pas nous imaginer que manipulateurs financiers,
analystes, journalistes et médias ne sachent pas ce qu’il se
trame réellement dans le monde des finances. Ou encore qu’ils
n’aient pas conscience que l’économie Autrichienne et
celle du marché libre présentent la meilleure perspective qui
soit en matière d’interactions économiques. Le
réel problème, c’est qu’il ne serait pas de leur
plus grand intérêt que d’admettre de telles choses.
Parce
que, lorsque le château de cartes financier finira pas
s’effondrer au vu et au su de tous, ils perdront toute
crédibilité – ainsi que l’ensemble de leur lectorat
– si tant est qu’ils continuent de nier.
Ils
tentent de faire marcher un tigre sur une corde raide, et n’ont ni
harnais ni filet de sécurité. Les tigres ne sont pas des
créatures aptes au funambulisme. L’animal, tout comme les
personnes n’ayant pas investi sur l’or, finiront par perdre
l’équilibre, et tomber de la corde…
Toute
personne lisant ces lignes et s’imaginant encore que les obligations
Américaines représentent des protections financières
pourrait rapidement se faire surprendre. Investir sur des obligations revient
à tenter de renforcer les fondations d’une maison de sable et y
injectant tant d’eau que le sol finisse par devenir sables mouvants.
Une
fois que vous réaliserez que le dollar a été
dilué au point de n’être plus rien, vous saurez
qu’ajouter toujours plus ‘d’eau’ ne représente
en rien une solution.
Les
initiés savent très bien que l’inflation est un
phénomène monétaire, et non un phénomène
dû à la demande. Si les prix augmentent, c’est parce
qu’il existe trop de monnaie fiduciaire sans aucune valeur à la
recherche de toujours plus de choses à acheter.
Une
fois que vous aurez compris cela, et une fois que vous réaliserez que
la monnaie fiduciaire est créée par l’impression
monétaire ou par l’emprunt, et que le taux d’emprunt est
déterminé par le coût du crédit (par les taux
d’intérêts), alors vous comprendrez que la structure
financière de notre monde est programmée pour
s’autodétruire. Il ne lui sera pas possible
d’échapper à son destin. Il ne pourra que le repousser
à plus tard.
Le
pouvoir du système à repousser l’inévitable
paraît, aux yeux de nombreuses personnes, interminable. Les
prévisions relatives à l’effondrement financier sont
toujours apparues comme étant assez mal chronométrées.
Entre le milieu et la fin des années 1970, après que le dollar
ait été définitivement dénué de sa
convertibilité en or, nombreux étaient ceux qui
s’imaginaient que la fin de la devise Américaine était
imminente. Ils avaient tort, simplement parce que Paul Vocker
eut l’idée d’élever les taux
d’intérêts à tel point que le coût relatif
à la possession d’or, par rapport à l’aubaine
potentielle représentée par les taux
d’intérêts, était aperçu comme étant
bien trop élevé – du moins à
l’époque.
En
conséquence, la valeur de la monnaie fiduciaire en termes d’or
augmentait à nouveau. L’or devint moins cher, et la monnaie
fiduciaire plus chère. Il fallait donc plus d’or pour acheter un
dollar. Cette politique fut maintenue jusqu’en 2001, alors que la
monnaie fiduciaire atteignait un record historique en termes d’or.
Si
Paul Vocker était directeur de la Fed
à l’heure actuelle, ses politiques seraient certainement
indiscernables de celles de notre cher Bernanke. Il
serait simplement impossible qu’un directeur de la Fed puisse
élever les taux d’intérêts à 18 voire 19%
sans entraîner l’effondrement de la structure financière
globale.
Notre
marché, notre économie, ne peuvent supporter des taux
d’intérêts élevés. Toute forme
d’activité financière (étant basée sur
l’emprunt et les dépenses) prendrait fin. Si ce
n’était pas le cas, la crise (relativement légère)
que nous avons subi jusqu’à aujourd’hui ne se serait
jamais produite.
La crise financière
Les
investisseurs qui jusqu’alors recevaient sans trop s’en soucier
des ‘coups de bâton sur le bout des doigts’
retrouvèrent soudainement leur aversion pour le risque. Lorsque le
risque ne signifiait rien de plus que ‘rendements potentiellement plus
élevés’, très peu nombreux étaient ceux
à ne pas jeter leur prudence au large. Aujourd’hui, alors que
risque signifie perte de capital, plus personne ne désire
s’exposer.
La
Fed et autres banques centrales du monde, du simple fait de leur
manière d’opérer, ne voient que très peu
d’options s’offrir à elles. Par leur simple existence,
elles sont condamnées à combattre le type d’incendie dont
nous faisons aujourd’hui l’expérience avec le
pétrole. Tout ce qu’elles peuvent faire, c’est diminuer
leurs taux en tentant de convaincre le public qu’il ne tombera jamais
à court de liquidités.
Junkies économiques
Si
vous avez prêté un minimum d’attention à la
situation actuelle, vous savez certainement que c’est justement
l’abondance de liquidité qui représente le plus gros du
problème. Le monde financier est accro au crack économique
qu’est le crédit peu cher – et la seule solution
s’offrant à lui pour satisfaire son addiction est de se rendre
auprès du dealer à l’origine de son addiction.
Nous
savons très bien qu’obtenir toujours plus de crack n’est
pas la meilleure solution qui s’offre aux junkies. Il est bien plus
efficace pour eux que d’arrêter de consommer – mais cette
dernière solution est à la fois pénible et politiquement
impopulaire.
Le
problème, c’est qu’une hausse du prix du crédit ne
serait pas aussi efficace qu’une désintoxication totale. Rendre
le crédit plus cher revient simplement à augmenter le prix du
crack et le rendre ainsi plus difficile d’accès, et non à
mettre fin à l’addiction.
En
tant qu’entité économique, tant que vous pouvez continuer
d’emplir votre système de crack, vous vous condamnez au
même destin que tous les autres junkies : un éventuel
effondrement suivi d’une mort certaine.
Le
crack est addictif dans la mesure où il stimule artificiellement la
partie du cerveau liée au plaisir, lui offrant une illusion de
stimulation. Il en va de même pour la monnaie fiduciaire. Elle stimule
la croissance économique parce qu’elle offre une illusion de
réserve monétaire illimitée permettant de financer ce
qui finit toujours par se prouver comme étant une création
illusoire de richesses.
Il
n’existe qu’un seul remède à cela : abandonner
l’addiction fiduciaire. Le monde financier (dont nous faisons partie) n’a
naturellement pas la volonté politique et financière de se
soigner de son addiction. Il finira donc tôt ou tard par mourir.
Gardez
bien à l’esprit que ‘monde financier’ ne signifie
pas ‘monde’. L’Humanité ne mourra pas. Notre
planète ne cessera pas d’exister. Il y aura toujours de
l’air à respirer, de la nourriture à manger et de
l’eau à boire – mais notre souffrance économique
sera inévitable.
Comment
faire pour abandonner cette addiction au crack ?
Soigner l’addiction fiduciaire du monde
Pour
soigner une maladie efficacement, il est nécessaire
d’établir un diagnostic précis et de prescrire au patient
le remède médical adapté.
Commençons
donc par établir un diagnostic de la maladie de notre monde financier.
Voici une liste des facteurs pathogènes du monde fiduciaire :
Le
dollar (tout comme la plupart des devises du monde dans les années
1800) était autrefois lié à l’or. Il fut
établi que X quantité d’or représentait une valeur
Y en dollars, et que les banques se devaient d’échanger Y
dollars contre X or dès qu’une personne en faisait la demande.
La
loi permit ensuite aux banquiers d’imprimer plus de dollars papier
qu’il n’y avait d’or pour les soutenir, baptisant ceci
‘système bancaire de réserve fractionnaire’ (les
banques ont uniquement besoin de conserver un petit pourcentage des dollars
qu’elles émettent sous forme d’or).
Inévitablement,
les banques imprimèrent trop de dollars, et les déposants,
devenus nerveux, finirent par demander à ce que leur or leur soit
rendu. Les temps devinrent très durs pour les banques.
La
Fed, prêteur de dernier recours créé en 1913, n’eut
pas d’autre solution pour sauver les banques que d’imprimer plus
de dollars. Il lui était naturellement impossible d’imprimer
plus d’or.
Plutôt
que de protéger les déposants et de punir les banques, le
gouvernement vint en aide aux banquiers coupables et choisit de punir
à leur place les déposants innocents (voir la confiscation de
l’or par Roosevelt en 1933).
Les
citoyens Américains se firent avoir, mais les banques centrales de la
planète étaient toujours en mesure d’échanger
leurs dollars contre de l’or par le biais du Trésor des
Etats-Unis. Les banques centrales, n’étant pas plus stupides que
les Américains, demandèrent, après s’être
rendu compte que la Fed et le système bancaire Américain
avaient imprimé trop de dollars, à ce que leur or leur soit
rendu. Nixon élargit donc la décision de Roosevelt à
l’échelle internationale : il ferma définitivement
le guichet de l’or.
Ce
fut au tour des banques centrales du monde (et des pays qu’elles
représentaient) de se faire avoir. Elles auraient pu rejeter le dollar
et dire aux Etats-Unis d’aller se faire voir, mais elles choisirent de
ne pas le faire. Elles voulaient toutes participer au schéma de
création monétaire.
Monnaie fiduciaire et pétrole
Les
Etats-Unis promirent aux Saoudiens de toujours les protéger
s’ils choisissaient de n’accepter uniquement que des
règlements en dollars pour leur pétrole. Les paiements en
dollars sont rapidement devenus la norme dans les pays producteurs de
pétrole, sécurisant ainsi la demande en dollars pour de
nombreuses décennies, et ce en des quantités suffisantes
à la dissimulation de l’absence de valeur de la devise
Américaine aux yeux des investisseurs.
Au
bout du compte, le marché (représentant la sagesse collective
de l’ensemble de ses participants malgré la stupidité
d’un grand nombre de ses membres individuels) s’est rendu compte
qu’il existait des quantités trop importantes de dollars (et
d’autres devises fiduciaires) en circulation, et a commencé
à enchérir sur le prix de l’or.
Les
banques centrales ont tout d’abord tenté de supprimer
entièrement l’or en vendant leurs réserves de
métal, mais ne mirent pas bien longtemps à ne plus avoir
d’or du tout. Paul Vocker saisit alors sa
chance de rendre le dollar plus cher en élevant les taux
d’intérêts, réduisant ainsi la valeur de l’or
de la manière expliquée plus haut. La situation s’est
ensuite accalmée pendant quelques temps.
Au
milieu des années 1990, le prix de l’or a recommencé
à grimper. Les banquiers centraux du monde ont donc
décidé de se vendre mutuellement de l’or (et d’en
vendre aux Chinois) afin de créer une illusion d’abondance sur
le marché. Pour cela, ils utilisèrent actions sur l’or,
contrats à terme, et autres dérivés afin
d’amplifier cette apparente abondance. L’apparente
sécheresse des prix en ayant découlé força les
sociétés minières à vendre de l’or
qu’elles n’avaient pas encore extrait afin de garantir le prix
futur de l’or sur un marché semblant constamment
décliner.
Opérations de portage
En
plus de cela, les banquiers centraux du monde se sont mis à
prêter de l’or aux banques bullion
à des prix très bas afin que ces dernières puissent le
revendre, et investir la monnaie obtenue de ces ventes sur des obligations
à plus haut rendement, empochant au passage la différence. Les
opérations de portage sur l’or étaient ainsi nées.
Tout
ceci (comme la crise de la dette actuelle) s’est produit à la
manière des dealers de crack traditionnels : rendre le produit
peu cher afin d’attirer la demande et de rendre de plus en plus de
personnes dépendantes.
Ces
opérations de portage ont permis de supporter les faibles taux
d’intérêts en augmentant la demande en obligations, et ont
fini par déboucher sur un boom de l’immobilier aux Etats-Unis et
en Grande-Bretagne. Le marché a quant à lui absorbé tout
l’or qui avait ainsi été rendu disponible.
Entre
temps, les banques centrales ont réalisé que leur crack –
le dollar – pourrait un jour finir par ne plus être disponible.
Elles ont donc décidé de créer une nouvelle source de
crack monétaire : la devise unique Européenne,
l’Euro – une drogue synthétique similaire à ce que
nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’ecstasy.
Les
Etats-Unis, ayant exporté bien trop de dollars, commencèrent
à enregistrer des déficits de balance commerciale.
D’autres pays devinrent inquiets et accueillirent l’euro à
bras ouverts. Aussitôt que les pays pétroliers en firent de
même, le monopole du dollar commença à se détériorer.
Tous
ces dollars devaient être distribués de manière à
ne pas entraîner d’augmentation des prix des biens et des
services dans une économie au sein de laquelle des prix
élevés sont considérés comme étant mauvais
– Greenspan devint une sorte de grand sorcier, créant des bulles
les unes après les autres (sur des secteurs dans lesquels des prix
élevés sont considérés comme étant une
bonne chose) afin d’absorber l’excès de dollars en
circulation : tout d’abord les actions, ensuite
l’immobilier, et enfin à nouveau les actions. C’est
là que nous en sommes aujourd’hui. Il ne se passera pas bien
longtemps avant que la bulle se dirige à nouveau sur les actions
technologiques (Nasdaq…).
Une différente sorte d’animal
La
bulle sur l’immobilier était bien différente de la bulle
sur les actions. Les actions sont souvent achetées avec de
l’argent déjà gagné, et non de l’argent
emprunté. En revanche, les biens immobiliers sont quasiment
exclusivement achetés grâce à de l’argent
emprunté.
La
plus grosse erreur des magiciens du crack est que, ces dernières
années, ils ont commencé à formuler de nouveaux types de
prêts afin de pouvoir les offrir aux investisseurs à coûts
réduits. De cette manière, les prêts sont devenus des
actifs. Ces actifs ont ensuite commencé à être
utilisés afin de soutenir le ‘papier commercial’
grâce auquel les plus grosses corporations empruntent de la monnaie aux
investisseurs sur le court terme afin de financer leurs opérations. A
maturité, ce ‘papier commercial’ est à nouveau
transformé en de nouveaux prêts.
Lorsque
la dette (les prêts immobiliers) soutenant d’autres dettes
(papier commercial) commença à tomber dans le défaut
dans le même temps que certains emprunteurs renonçaient à
leur obligation de paiement, les investisseurs ayant prêté aux
corporations l’argent dont ces dernières avaient besoin pour financer
leurs opérations commencèrent à se retirer. Les plus
grosses entreprises ne pouvaient plus financer leurs opérations. Le
résultat ? Pas d’opérations, pas de business, pas de
revenus, pas de profits, et enfin diminution du prix des actions.
C’est
ce qu’il s’est passé en 2008. Notre tigre avait pour la
première fois perdu l’équilibre sur sa corde. Viendra un
jour où il vacillera à nouveau, et bien plus dangereusement.
Un
jour viendra où les plus grosses entreprises ne seront plus en mesure
de faire des affaires. Les prix des actions chuteront. Les gens perdront
leurs emplois. Ils manqueront ensuite à rembourser leurs prêts
immobiliers. Le cercle vicieux ne fera que s’accentuer. Les
investissements que sont les obligations, et que certaines personnes aperçoivent
encore comme étant sécurisées, finiront par
s’envoler.
Nous
pouvons dès aujourd’hui commencer à nous imaginer
l’ampleur de la catastrophe à venir !
Un gouffre sans fond
Un
gouffre s’ouvre actuellement sous nos pieds, alimenté par la
monnaie fiduciaire. Et nous venons tous juste de nous rendre compte que nous
ne pouvons rien y faire, nos freins sont cassés, et nos manœuvres
ne répondent plus.
Notre
atterrissage ne se fera pas en douceur.
Alors
que ceux qui nourrissent la dette tentent leur numéro de tigre
funambule sous les yeux de tous, ceux qui possèdent de l’or et
de l’argent seront les seuls à ne pas craindre de les voir
tomber : ils auront, eux, déjà les deux pieds posés
fermement sur le sol.
A propos,
vous avez de l’or ?
Alex Wallenwein
|
Si vous êtes heureux dans votre bulle, fuyez ce blog... mais le réveil risque d'être douloureux !!!
jeudi 14 mars 2013
Désintoxicons nous de la monnaie fiduciaire
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