On peut ne pas l'aimer, mais tout ce qu'il dit n'est pas faux !
Si vous êtes heureux dans votre bulle, fuyez ce blog... mais le réveil risque d'être douloureux !!!
dimanche 31 mars 2013
Chypre: les gros dépôts à la Bank of Cyprus ponctionnés jusqu'à 60% ?
En contrepartie d'un prêt de 10
milliards d'euros conclu à Bruxelles, les autorités chypriotes doivent
trouver 5,8 milliards. A cette fin, les comptes dépassant 100 000 euros
sont gelés à la Bank of Cyprus et à la Laïki, les deux plus grandes
banques du pays. La première (18,5 milliards d'euros de dépôts) doit
être restructurée et la seconde (9,2 milliards) liquidée.
Des calculs sont en cours pour déterminer l'ampleur de la ponction prévue sur les dépôts à la Bank of Cyprus, qui a été fixée pour l'instant à 37,5% mais pourrait aller jusqu'à 60%.
Les détenteurs de dépôts de plus de 100 000 euros verront au moins 37,5% de leurs fonds transformés en actions, et 22,5% en plus qui sera immobilisé jusqu'à ce que les autorités sachent si elles peuvent remplir les conditions du plan de sauvetage, a indiqué samedi soir la Banque centrale.
"La première estimation a été que 37,5% des dépôts au-delà de 100 000 euros seront convertis en actions", a également indiqué à la presse le ministre des Finances Michalis Sarris.
Des calculs sont en cours pour déterminer l'ampleur de la ponction prévue sur les dépôts à la Bank of Cyprus, qui a été fixée pour l'instant à 37,5% mais pourrait aller jusqu'à 60%.
Les détenteurs de dépôts de plus de 100 000 euros verront au moins 37,5% de leurs fonds transformés en actions, et 22,5% en plus qui sera immobilisé jusqu'à ce que les autorités sachent si elles peuvent remplir les conditions du plan de sauvetage, a indiqué samedi soir la Banque centrale.
"La première estimation a été que 37,5% des dépôts au-delà de 100 000 euros seront convertis en actions", a également indiqué à la presse le ministre des Finances Michalis Sarris.
La crise profite à la Banque de France
L'institution a annoncé, jeudi 28 mars, un bénéfice de 3,15
milliards d'euros tiré par l'argent collecté sur des rachats de dettes
de pays fragiles. Son gouverneur, Christian Noyer, a préféré faire
profil bas.
C'est un paradoxe : la crise de la zone euro
permet aux banques centrales d'enregistrer des résultats record. Jeudi
28 mars, la Banque de France a ainsi publié un bénéfice de 3,15
milliards d'euros, soit plus du double de 2011. Le résultat ordinaire
de la banque avant impôts s'élève, lui, à 8,1 milliards d'euros.
Ces solides résultats sont malheureusement dopés par la mauvaise fortune des pays de la zone euro. La Banque de France précise ainsi dans son communiqué,
que sa bonne année 2012 a été portée par les bénéfices réalisés sur les
rachats de titres de dettes des pays fragilisés de la zone euro :
Portugal, Espagne, mais surtout Grèce.
Ces rachats faisaient partie du précédent programme anti-crise de la
Banque centrale européenne (BCE), et ont été opérés en 2011 et 2012 avec
"un effet plein" sur cette dernière année.
Que va-t-il se passer quand la Fed mettra fin au quantitative easing ?
La Fed se trouve véritablement prise entre le marteau et l’enclume.
Elle ne peut pas éternellement poursuivre sa politique d’intérêt zéro,
ses achats de bons du Trésor américain à hauteur de 45 milliards et de
40 milliards de dollars de titres hypothécaires (MBS) chaque mois. Les
risques qu’une telle politique fait peser sur le système financier
mondial deviennent trop grands et augmentent chaque mois. Les bulles sur
les actifs boursiers ou immobiliers découlent directement de la
création monétaire à outrance de la Fed.
En 2013, le total du bilan de la Fed va déjà passer de 3 100
milliards de dollars à plus de 4 000 milliards de dollars. A ce train,
le total atteindra 6 000 milliards de dollars en 2016.
La réponse de la banque centrale consistant à dire qu’elle peut
arrêter le programme d’assouplissement quantitatif à tout moment est de
moins en moins crédible. Qui, dans cette éventualité, financera le
nouveau déficit budgétaire?
Klaas Knot (BCE) confirme la fin de l’inviolabilité des comptes bancaires en Europe
Qui ne se souvient que Jeroen Dijsselbloem, le président de
l’Eurogroupe, avait déclaré que la mise à contribution des épargnants (bail-in)
à Chypre pourrait servir de modèle à l’ensemble de l’Europe ? Face aux
réactions d’indignation qu’avaient suscitées ses propos, il avait très
rapidement fait machine arrière.
Or Klaas Knot, gouverneur de la banque centrale néerlandaise, membre
du conseil des gouverneurs de la BCE, vient de soutenir son compatriote.
« Ses propos se réfèrent à une approche qui est sur la table depuis un moment en Europe. Cette approche fera partie de la politique de liquidation européenne », a-t-il dit vendredi dans les colonnes du Financieele Dagblad. Son porte-parole a confirmé.
(source : Reuters)
Chypre: enquête sur des dettes de politiques effacées
Les autorités chypriotes se sont engagées samedi à enquêter sur
l’effacement présumé de dettes contractées par des personnalités
politiques de l’île, après la publication dans la presse d’une liste de
prêts octroyés à ces personnalités, qui n’ont pas été remboursés.
« En réaction à des informations de presse au sujet d’effacements de
dettes par des banques au bénéfice d’hommes politiques, le gouvernement
réaffirme sa volonté d’enquêter pleinement sur tous les aspects de la
crise dans le secteur bancaire », a fait savoir Christos Stylianides,
porte-parole du gouvernement.
Il a assuré que l’enquête couvrirait aussi « l’octroi, l’effacement
ou la réduction de prêts (…) ou d’autres services fournis par les
banques de la République à la fois à Chypre et à l’étranger ».
Selon la presse grecque, Bank of Cyprus, Laïki et Hellenic Bank ont
effacé des millions d’euros de dettes ces cinq dernières années au
bénéfice de députés, de proches ou de sociétés liées à des personnalités
politiques."Ce que la Belgique a économisé n'est pas si impressionnant"
Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a défendu
dimanche, dans une interview accordée au journal flamand De Zondag, la
politique d'austérité européenne. On ne peut pas lutter contre la crise
de la dette en contractant plus de dettes, dit-il. Mais M. Van Rompuy
veut aussi mettre cela en perspective. Ainsi, par exemple, notre pays
n'a pas beaucoup économisé au cours de ces dernières années. Les
économies structurelles de 2010, 2011 et 2012 étaient "très limitées".
Selon le président du Conseil européen, l'Europe doit actuellement
résoudre les erreurs structurelles du passé. Les pays qui aujourd'hui
sont placés sous perfusion de l'aide européenne "ont vécu au-dessus de
leurs moyens". "On ne peut créer de la richesse avec de l'argent
emprunté."
M. Van Rompuy soutient ainsi la politique
d'austérité. "L'alternative pour lutter contre la crise de la dette
est-elle de contracter encore plus de dettes? Intellectuellement, cela
n'a pour moi ni queue, ni tête." Tout doit donc être considéré dans son
contexte, selon M. Van Rompuy. "Je prends la Belgique comme exemple. Ce
que nous avons économisé ces dernières années n'est pas si
impressionnant. Penser que nous souffrons durement de la crise en ce
moment n'est pas correct."
Il se réfère pour cela aux chiffres
belges relatifs à l'emploi, la création d'emplois et le revenu
disponible des ménages. "Regardez les chiffres. Aucun de ceux-ci
n'indique que nous avons trop économisé. Qu'est-ce que la Belgique a
structurellement économisé? 0,5 pour cent en 2010, 0 pour cent en 2011
et 0,7 pour cent en 2012. C'est très limité."
Le contrôle
budgétaire fédéral pour 2013, qui a été présenté samedi, comprend
quelque 1,5 milliard d'euros de mesures structurelles. La Commission
européenne a salué ces mesures structurelles et l'engagement à réduire
la dette de l'État.
(NDLR) : Pour ceux qui ne le l'ont pas vu, regardez ici pour voir comment eux ils font de vrais économies !
(NDLR) : Pour ceux qui ne le l'ont pas vu, regardez ici pour voir comment eux ils font de vrais économies !
vendredi 29 mars 2013
Le déficit public plus élevé que prévu, la dette atteint 1834 milliards
Conjoncture
Au lendemain de l’intervention de François Hollande, les derniers chiffres de l’Insee tombent mal : le déficit public a été réduit moins que prévu en 2012, et que la dette publique a continué à augmenter, dépassant désormais les 90% du PIB – un record.
C’était un engagement du gouvernement auprès de ses partenaires européens : ramener le déficit public
de la France de 5,3% à 4,5% du produit intérieur brut en 2012 – en
attendant de passer sous les 3,7% du PIB fin 2013. Il n’a pas été tenu.
En dépit des efforts réalisés, les chiffres de l’Insee annoncés vendredi matin
montrent que le déficit n’est pas descendu en-deçà des 4,8%. La dette
publique a, elle, continué d’exploser atteignant fin 2012 un nouveau
record à 90,2% du PIB, plus que les 89,9% prévus par le gouvernement. Ce qui représente 1833,8 milliards d’euros… Elle s’élevait à 85,8% en 2011.
jeudi 28 mars 2013
La triste vérité quant à la sécurité de votre épargne
Le 22 février 2013, je publiais un article dans lequel j’expliquais
pourquoi l’épargne des déposants n’est pas en sécurité en Europe. Voici ce
que j’y ai écrit :
Ce que très peu de personnes savent au sujet de la crise Espagnole, c’est que lorsque le gouvernement vient en aide à des banques en difficulté, il ne fait rien de moins que remplacer l’épargne des déposants par des actions auprès de la nouvelle banque.
Ainsi, lorsque la banque nouvellement formée s’effondre, votre épargne disparaît complètement. Elle ne disparaît pas jusqu’à vous être rendue par une version Espagnole du FDIC… elle disparaît pour toujours !
Le weekend dernier, nous avons reçu confirmation que le gouvernement Espagnol n'est pas le seul à employer de telles politiques : Chypre, ainsi que l’Allemagne et le FMI, ont tenté de confisquer les comptes épargne privés pour financer le plan de sauvetage du pays.
Et par confisquer, j’entends voler. Pour financer un plan de sauvetage que les citoyens Chypriotes n’auraient aucun intérêt de financer. En retour, comme pour les Espagnols, il était prévu qu’ils reçoivent des actions auprès de banques déjà renflouées.
Ce que très peu de personnes savent au sujet de la crise Espagnole, c’est que lorsque le gouvernement vient en aide à des banques en difficulté, il ne fait rien de moins que remplacer l’épargne des déposants par des actions auprès de la nouvelle banque.
Ainsi, lorsque la banque nouvellement formée s’effondre, votre épargne disparaît complètement. Elle ne disparaît pas jusqu’à vous être rendue par une version Espagnole du FDIC… elle disparaît pour toujours !
Le weekend dernier, nous avons reçu confirmation que le gouvernement Espagnol n'est pas le seul à employer de telles politiques : Chypre, ainsi que l’Allemagne et le FMI, ont tenté de confisquer les comptes épargne privés pour financer le plan de sauvetage du pays.
Et par confisquer, j’entends voler. Pour financer un plan de sauvetage que les citoyens Chypriotes n’auraient aucun intérêt de financer. En retour, comme pour les Espagnols, il était prévu qu’ils reçoivent des actions auprès de banques déjà renflouées.
mercredi 27 mars 2013
Entretien avec Jacques Sapir
Jacques Sapir, économiste et directeur d'études à l'EHESS, nous explique
pourquoi l'euro n'est pas tenable économiquement, et pourquoi il serait
souhaitable de pratiquer des relances de l'économie via des dépenses
d'investissement de l'Etat.
Il évoque ensuite la situation économique de la Russie, et explique comment elle a réussi à opérer un puissant retour en force au niveau économique et politique depuis la fin des années 1990.
Il évoque ensuite la situation économique de la Russie, et explique comment elle a réussi à opérer un puissant retour en force au niveau économique et politique depuis la fin des années 1990.
Les suisses vont ils acheter plus de 1000 tonnes d'or?
Les suisses jouent le krach des monnaies!
Ils exigent le rapatriement de tout leur or, et vont doubler leur position
en physique , qui est actuellement de 1050 tonnes!A la place de ceux qui détiennent de l'or papier
dans les bullions , je me ferait un gros soucis ............les jours des banks shorts sont comptés!
Puisque les bullion banks pour le compte des banques centrales occidentales
(la Federal Reserve en particulier) continuent de les vendre systématiquement
à découvert, étant donné qu’il s’agit d’éviter le plus longtemps possible un
rush vers les métaux de nature à accroitre la déstabilisation générale du
Système monétaire qu’elles ont de plus en plus de mal à colmater, et que le
dollar US monte. Combien de temps encore cela va-t-il
durer?..............quand le $ baissera, ce qui a raison de 80 milliards de
beaux billets inventés chaque mois ne devrait pas durer 107ans!La crise
européenne arrange quand même bien les américains pour le moment, de là à
dire que.....
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