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vendredi 26 avril 2013

Une sortie de l'Allemagne de la zone euro ? Pourquoi Georges Soros a tort

L'été dernier, le financier George Soros invitait l'Allemagne à accepter la mise en place du Mécanisme européen de stabilité (MES), appelant le pays à « diriger ou se retirer. » Il considère aujourd'hui que, si l'Allemagne entend continuer de faire obstacle à l'introduction des euro-bonds, elle devrait alors quitter la zone euro.
Soros joue véritablement avec le feu. Une sortie de la zone euro, tel est en effet précisément ce à quoi aspire le parti récemment formé et baptisé « Alternative pour l'Allemagne, » tirant son soutien d'une large proportion de la population allemande.

La Grèce se prépare à voter de nouvelles réformes pour débloquer les prêts UE-FMI.

Le gouvernement grec a déposé vendredi au parlement le projet de loi recensant les nouvelles mesures de redressement convenues avec les créditeurs du pays, dont l’adoption prévue dimanche doit débloquer 8,8 milliards de prêts UE-FMI. 

Le projet de loi pose notamment le cadre du renvoi prévu d’ici à 2014 de 15.000 fonctionnaires, dont 4.000 cette année, une exigence de la troïka représentant les créanciers du pays qu’Athènes a fini par accepter à l’issue d’ardues négociations.
Sanctionnés pour corruption ou incompétence, proches de la retraite anticipée ou victimes de la suppression de leurs postes, les partants sont censés être remplacés par de nouveaux fonctionnaires recrutés au mérite, une règle qui suscite une forte méfiance dans un pays marqué par le clientélisme.
Sur fond de manifestation organisée par le syndicat de la fonction publique, le texte doit être voté dimanche dans la nuit en procédure d’urgence pour ouvrir au versement de nouvelles tranches, de 8,8 milliards d’euros, des prêts consentis au pays par l’UE et le FMI, pour un total de 240 milliards d’euros.
Son adoption est considérée comme acquise au vu de la confortable majorité, de 167 députés sur 300, soutenant l’attelage gouvernemental droite-socialiste-gauche emmené par le Premier ministre conservateur Antonis Samaras.
Brandissant des drapeaux grecs, plus de mille employés contractuels municipaux d’Athènes et Salonique (nord) ont défilé dans le centre d’Athènes contre les licenciements prévus par ces mesures.

jeudi 25 avril 2013

Changer de politique : un impératif de survie

La politique de déflation enfonce l’Europe dans le marasme. Seule alternative : la solidarité financière ou la création monétaire.
La France et la zone euro s’enfoncent chaque jour davantage dans le marasme économique, créant une crise sociale et politique qui remet en question l’idée même d’Europe dans l’opinion publique. De plus, la zone euro, entrée en récession, tire en grande partie l’économie mondiale vers le bas.
Cette situation est le résultat direct de la politique monétaire et économique de déflation imposée par Bruxelles, la Banque centrale européenne (BCE) et l’Allemagne, politique fondée sur la théorie libérale selon laquelle il convient de réduire la dépense publique, baisser substantiellement les salaires, les retraites, les prestations pour rétablir les comptes publics. C’est la politique que Pierre Laval a conduite avant guerre et qui a accéléré la crise de 1929 et conduit la France au désastre.

Où est passé le rêve européen ?


Amnésie, récession, faillite des élites, divisions… L’Europe libre et solidaire qui a tant fait rêver les peuples opprimés n’existe plus, et les responsables politiques européens n’osent pas le dire, constate le politologue bulgare Ivan Krastev.
L’Union européenne (UE) n’est plus, du moins telle que nous la connaissions. Et la question n’est pas de savoir ce que deviendra la nouvelle union, mais pourquoi cette Europe qui nous a tant fait rêver n’existe plus.
La réponse est simple : aujourd’hui, tous les piliers qui ont servi à bâtir et à justifier l’existence de l’Union européenne se sont effondrés.

lundi 22 avril 2013

Tragédie, panique et le plus gros short squeeze de l'Histoire

Nous sommes dans une période où les investisseurs devraient vraiment être inquiets, mais pas à cause de la correction des prix de l'or et de l'argent. Nous sommes dans une situation sans précédent, la plupart des Etats souverains sont en faillite, et  le système bancaire est en faillite.
Pendant ce temps là, les marchés actions sont à un niveau élevé, et beaucoup d'investisseurs sont heureux. Ils ont un faux sentiment de sécurité parce qu'ils ne comprennent pas que la monnaie imprimée est en train de créer une nouvelle bulle d'actifs sur le marché boursier.
La monnaie imprimée est à la recherche d'un refuge et le marché boursier est le plus évident. Cette bulle d'actifs conduira à la catastrophe. Le marché boursier se dirige vers un grand déclin de long terme qui débutera en 2013...
Seule une toute petite poignée de personnes savent ce qui se passe vraiment aujourd'hui. Mon souhait est que davantage de personnes à travers le monde comprennent la situation actuelle, en lisant notamment les articles de spécialistes avisés et reconnus pour leurs analyses.

jeudi 18 avril 2013

Conférence ouvrière européenne pour l’unité et l’indépendance dans le combat contre la Troïka

Les 15, 16 et 17 mars 2013 s’est tenue à Tarragone (Espagne) une conférence ouvrière indépendante européenne, réunissant 164 militants ouvriers, délégués de 13 pays européens et issus d’horizons politiques ou syndicaux différents. Ce qui les a réunis, c’est la nécessité de « débattre librement dans un objectif unique : contribuer de façon coordonnée, dans chacun de nos pays, à lever les obstacles qui se dressent contre la réalisation de l’unité. Pour abroger les plans assassins de l’Union Européenne et ses traités ! Contre la dictature de la Troïka ! ». L’indépendance et l’unité du mouvement ouvrier sont au centre des priorités à l’heure où, de Londres à Lisbonne, de Madrid à Paris, Berlin, Athènes, les peuples font face à la barbarie des institutions financières et européennes, appliquée par les gouvernements. Voici le communiqué de presse publié à l’issue de cette conférence.

mercredi 3 avril 2013

Nouveau record du taux de chômage dans la zone euro

Le taux de chômage dans la zone euro a atteint 12,0% de la population active, un nouveau record, selon les statistiques publiées mardi par Eurostat.
Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient un tel niveau de chômage. Le taux de chômage du mois de janvier a été revu en hausse à 11,9% contre 12,0% en première estimation.
Sur le mois de février, 33.000 personnes supplémentaires se retrouvaient sans emploi dans la zone euro, a précisé Eurostat.
Le taux de chômage des moins de 25 ans est ressorti à 23,9% dans la zone euro, avec des taux en Grèce et en Espagne restant au-dessus de 50%.
Cette envolée du chômage est surtout la cause des mesures d'austérité prises depuis trois ans dans la zone euro pour endiguer la crise de la dette.
Les conséquences sociales de ces mesures pourraient, selon certains, inciter la Banque centrale européenne (BCE) à baisser ses taux d'intérêt pour stimuler l'activité économique à l'issue de sa réunion de politique monétaire jeudi.

dimanche 31 mars 2013

Qui est Nigel Farage ?: Pour une Europe des nations


On peut ne pas l'aimer, mais tout ce qu'il dit n'est pas faux !

Les économies Française et Allemande divergent, nous allons vers un désastre !


Klaas Knot (BCE) confirme la fin de l’inviolabilité des comptes bancaires en Europe

Qui ne se souvient que Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe, avait déclaré que la mise à contribution des épargnants (bail-in) à Chypre pourrait servir de modèle à l’ensemble de l’Europe ? Face aux réactions d’indignation qu’avaient suscitées ses propos, il avait très rapidement fait machine arrière.
Or Klaas Knot, gouverneur de la banque centrale néerlandaise, membre du conseil des gouverneurs de la BCE, vient de soutenir son compatriote.
« Ses propos se réfèrent à une approche qui est sur la table depuis un moment en Europe. Cette approche fera partie de la politique de liquidation européenne », a-t-il dit vendredi dans les colonnes du Financieele Dagblad. Son porte-parole a confirmé.
(source : Reuters)

Les infos dont on parle peu n°24 (30 Mars 2013)


"Ce que la Belgique a économisé n'est pas si impressionnant"

Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a défendu dimanche, dans une interview accordée au journal flamand De Zondag, la politique d'austérité européenne. On ne peut pas lutter contre la crise de la dette en contractant plus de dettes, dit-il. Mais M. Van Rompuy veut aussi mettre cela en perspective. Ainsi, par exemple, notre pays n'a pas beaucoup économisé au cours de ces dernières années. Les économies structurelles de 2010, 2011 et 2012 étaient "très limitées".
Selon le président du Conseil européen, l'Europe doit actuellement résoudre les erreurs structurelles du passé. Les pays qui aujourd'hui sont placés sous perfusion de l'aide européenne "ont vécu au-dessus de leurs moyens". "On ne peut créer de la richesse avec de l'argent emprunté."

M. Van Rompuy soutient ainsi la politique d'austérité. "L'alternative pour lutter contre la crise de la dette est-elle de contracter encore plus de dettes? Intellectuellement, cela n'a pour moi ni queue, ni tête." Tout doit donc être considéré dans son contexte, selon M. Van Rompuy. "Je prends la Belgique comme exemple. Ce que nous avons économisé ces dernières années n'est pas si impressionnant. Penser que nous souffrons durement de la crise en ce moment n'est pas correct."

Il se réfère pour cela aux chiffres belges relatifs à l'emploi, la création d'emplois et le revenu disponible des ménages. "Regardez les chiffres. Aucun de ceux-ci n'indique que nous avons trop économisé. Qu'est-ce que la Belgique a structurellement économisé? 0,5 pour cent en 2010, 0 pour cent en 2011 et 0,7 pour cent en 2012. C'est très limité."

Le contrôle budgétaire fédéral pour 2013, qui a été présenté samedi, comprend quelque 1,5 milliard d'euros de mesures structurelles. La Commission européenne a salué ces mesures structurelles et l'engagement à réduire la dette de l'État.

(NDLR) : Pour ceux qui ne le l'ont  pas vu, regardez ici pour voir comment eux ils font de vrais économies !

mercredi 27 mars 2013

Le revenu de base : un nouveau droit humain

Entretien avec Jacques Sapir




Jacques Sapir, économiste et directeur d'études à l'EHESS, nous explique pourquoi l'euro n'est pas tenable économiquement, et pourquoi il serait souhaitable de pratiquer des relances de l'économie via des dépenses d'investissement de l'Etat.
Il évoque ensuite la situation économique de la Russie, et explique comment elle a réussi à opérer un puissant retour en force au niveau économique et politique depuis la fin des années 1990.

mardi 26 mars 2013

Le plan pour Chypre pourrait servir de modèle pour le président de l’Eurogroupe

  Le plan de « sauvetage » élaboré pour Chypre pourrait servir de modèle pour résoudre les difficultés bancaires au sein de la zone euro, a déclaré le président de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem.
L’Eurogroupe, le FMI et la BCE se félicitent de l’accord trouvé pour sauver Chypre de la faillite. Le président de l’Eurogroupe, le Hollandais Jeroen Dijsselbloem, veut même en faire un modèle.
Selon lui, ce plan, qui consiste à réduire le poids du secteur bancaire du pays (notamment en mettant en faillite la deuxième banque du pays), peut être mis en oeuvre pour les pays en difficultés bancaires de la zone euro (Slovénie) ou ceux dont le système bancaire est similaire à celui de Chypre, c’est-à-dire accueillant vis-à-vis des investissements étrangers (comme c’est le cas à Malte et au Luxembourg).

La crise sociale s'aggrave en Europe

Une fois n'est pas coutume, mais il me vient l'envie d'écrire l'intro d'un petit article sur le blog.
Pendant que les médias nous bassinent avec les blagues des carambars, le foot, le mort de Koh-lanta, le spray de Boutin, les manifs pour ou contre les gays, les certificats verts, la pilule de la 3ème génération, le procès Sarkozy, le pape François 1er, la neige, Gad Elmaleh, les anges de la téléréalité, Depardieu, les œufs de Pâques et tuti quanti les conséquences de la crise et des politiques d'austérité, l'emploi a régressé et le chômage n'a cessé d'augmenter dans l'Union européenne, tandis que la situation financière des ménages est restée précaire, a constaté la Commission européenne dans un rapport publié mardi. "Les effets négatifs des restrictions budgétaires et des hausses d'impôts sur l'emploi et le niveau de vie sont de plus en plus visibles dans certains États membres", souligne le rapport.
"La crise sociale que traverse l'Europe continue de s'aggraver. Dans un certain nombre d'États membres, aucun signe d'amélioration tangible n'est en vue. Les personnes les plus pauvres ont très souvent été les plus sévèrement touchées", a reconnu le commissaire européen chargé des Affaires sociales, Laszlo Andor.

lundi 25 mars 2013

Braquage à la chypriote saison 1 épisode 5 (l’amputation ou la mort) !


Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

Difficile de vous faire un Edito dimanche que vous lirez lundi matin alors que dans la nuit nos grands mamamouchis européens réunis à Bruxelles vont forcément sortir un lapin de leur chapeau pour gagner encore une fois un peu de temps. La sortie de l’euro de Chypre qui serait une solution possible mais sera sans doute évitée pour ne pas mettre en péril cette sublime construction politique qu’est la monnaie unique qui hélas ne fonctionne pas en termes économiques.
Il y aurait bien également la faillite organisée des banques avec les pertes pour les actionnaires (ils ont joué et perdu), les détenteurs d’obligations (ils ont joués et perdu), mais cela pourrait donner des idées à d’autres pays depuis que l’Islande a montré que cela pouvait marcher, donc les banquiers qui dans ce cas sont les dindons de la farce vont sans doute s’y opposer malgré une volonté allemande qui pour une fois me semble saine sur ce point précis.

Expérimentons de nouvelles voies

La crise des institutions politiques européennes incite les dirigeants à des choix prudents au nom de la gouvernabilité. Mais ne vaudrait-il pas mieux essayer de s’ouvrir à de nouvelles formes de participation – au niveau national et européen – qui pourraient mieux répondre aux exigences des citoyens ?
"Keine Experimente !", "Pas d’expérimentations !" avait lancé le chancelier Konrad Adenauer à ses concitoyens. C’était en 1957. Après la défaite d’Hitler, une démocratie solide était née mais il y avait cependant quelque chose de borné et d’inapproprié dans cette mise en garde qui s’adressait à un peuple vaincu qui pendant des années s’était laissé séduire par la plus atroce des expérimentations. Au fond de l’âme allemande, cette peur de l’expérimentation n’a toujours pas disparu.
Aujourd’hui, les choses ont bien changé, en Italie, comme en Europe : la crise a obligé les Etats-nations impuissants à tomber le masque. Partout, la démocratie est en miettes. Politiciens et citoyens ont perdu le contact, les premiers s’enferment dans leur tanière, les seconds veulent compter davantage et se faire entendre. À moins que nous nous considérions tous comme des vaincus, il est temps, aujourd’hui plus que jamais, d’oser expérimenter dans le cadre de la démocratie précisément. Il est temps de se défaire des schémas auxquels les politiques et les journalistes continuent à s’agripper, par confort et par paresse. Manuel Castells écrit dans La Vanguardia du 2 mars : "Innover ou périr".

dimanche 24 mars 2013

L'Euro proche de la fin


A qui appartient votre argent ?

  A Chypre, le peuple s’est sans doute réjoui un peu trop vite du refus de son parlement d’accepter la taxe sur les dépôts bancaires pourtant exigée par la Troïka. Car en définitive le capitalisme impose qu‘il faudra bien un jour que quelqu’un paye, et les riches en sont bien incapables
Les récents développements du « cas chypriote », avec la renégociation de l’accord qu’on croyait scellé, tendent à montrer que la situation est plus complexe qu’il n’y paraît : coincé entre les apparences de la démocratie qu’il faut respecter et les exigences capitalistes (qui il faut sans cesse le répéter sont incompatibles), faire tomber le « tabou » de la garantie bancaire est un risque difficile à maîtriser.

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