
Ces mesures devraient permettre au Portugal de compenser
le 1,3 milliard d'euros que le Portugal devait lever par des mesures
d'austérité qui ont finalement été abandonnées depuis que la Cour
constitutionnelle en a jugé certaines illégales, a expliqué M. Sarmento
sans fournir davantage de détails.
Les représentants de la « troïka » qui réunit l'Union
européenne, le Fonds monétaire international et la Banque centrale
européenne, en visite à Lisbonne cette semaine, ne sont pas parvenus à
obtenir un consensus politique entre le gouvernement et le Parti
socialiste, principal parti de l'opposition, sur les prochaines coupes
budgétaires à adopter.