
Peu
après, il avait amendé ses propos, affirmant que Chypre avait été « un
cas spécial ». Mais Dijsselbloem ne faisait qu’exprimer ce que de
nombreux eurocrates pensaient, et ils ont décidé d’en faire une loi.
Si vous êtes heureux dans votre bulle, fuyez ce blog... mais le réveil risque d'être douloureux !!!
« La BCE (Banque centrale européenne) a clairement fait savoir que sans un programme de réforme pour Chypre, l’aide ne peut pas continuer. Quelqu’un doit expliquer aux chypriotes qu’il y a un risque qu’ils ne soient pas du tout en mesure d’ouvrir les banques à nouveau », a-t-il dit.« Deux grandes banques chypriotes sont insolvables s’il n’y a pas de fonds d’urgence de la Banque centrale européenne », a ajouté M. Schäuble.